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lundi 15 février 2010

Un anglais à l'hôpital !

- Un jour, un Anglais se présente à l'hôpital et, s'adressant à l'accueil : (avec l'accent) :
- bonjour, je voudouais ma faire stéwiliser.
On l'adresse à un chirurgien qui lui explique :
- écoutez, monsieur, je veux bien vous stériliser mais savez-vous, c'est une opération délicate et surtout irréversible.
- Ca ne fait lien, je veux me faire stéwiliser.
- Le chirurgien lui fait alors signer une décharge puis, le lendemain, procède à l'opération.
- Quelques heures plus tard, l'opéré se réveille, il passe encore quelques heures dans l'hôpital puis est autorisé à rentrer chez lui. Il dit au revoir et s'en va. Au moment où il quitte l'hôpital, il rencontre un de ses amis français qui lui demande :
- Alors Bob ! Ça y est, tu t'es fait vacciner ?
- Ha ! Vacciné ! C'est çà, je cherchais la nom.

mardi 12 janvier 2010

pour obtenir une démobilisation rapide

Monsieur le Ministre de la Défense,
Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit, et de solliciter de votre bienveillance l'appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide.
Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille. A cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu'il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu'elle est la femme de mon père.
Ma femme et moi avons eu en Janvier dernier un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau frère de mon père. En conséquence, mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle.
La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère puisqu'il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu'il est le fils de la fille de ma femme.
Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d'une personne est le père de celle-ci, il s'avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.
De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l'obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.
Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l'expression de mes sentiments les meilleurs.